Omara Sansegundo Moreno

Chargée d'enseignement

Omara Sansegundo Moreno

UER AGIRS

Présentation

Assistante diplômée en Pédagogie et en Psychologie Sociale.

Après ma formation dans le domaine de la Pédagogie (Faculté d'Éducation, Université de Murcia, Espagne) et de la Psychologie sociale (Faculté de Psychologie, Université de Murcie, Espagne), J'ai travaillé en tant que collaboratrice scientifique au sein du Service Handicap et Santé Communautaire de 2013 à 2015 à l’Université de Murcia (Espagne). En parallèle, j'ai travaillé dans le service de pédagogue spécialisée en participant à la modification des programmes d’élèves ayant recours à des besoins éducatifs spéciaux et/ ou des troubles du comportements.

Depuis 2018, je suis assistante doctorante au sein de la HEP Vaud et membre du LASALé. J'ai aussi rejoint l’Institut des Études Genre à l'UNIGE et l’Unité de recherches Migrations et société (URMIS) à l’Université de Nice.

Fonctions et mandats

Organisationnels

  • Doctorante en sociologie en cotutelle de thèse sous direction de Catherine Blaya (Université Côte d'Azur - Nice) et la co-direction de Delphine Gardey (Université de Genève). Titre du projet de thèse "La cyberhaine à travers une perspective intersectionnelle. L’implication des jeunes filles et jeunes garçons en France Hétérogénéité des expériences"
  • Assistante de Delphine Odier-Guedj pour des recherches en lien avec le Laboratoire Accrochage Scolaire et Alliances Éducatives (LASALé)

Autres

  • Co-présidente de l'Association des Assistant·e·s de la HEP (AdA HEP)
  • Membre du groupe de recherche "Éducation Jeunesse Altérité". URMIS - Université Côte d'Azur
  • Membre de l'Institut Étude Genre. UNIGE

Enseignements

Formation de base

Ma thèse a l’intention d’approfondir, à travers une approche intersectionnelle, la question de la cyberhaine à l’encontre de minorités ethniques et de religions spécifiques chez les jeunes habitants en France, âgé·es de 13 à 17 ans. Premièrement nous allons analyser les profils hétérogènes des filles exposées, victimes et auteures de cyberhaine, puis d’identifier les différences avec le sous-groupe de garçons, ainsi que le vocabulaire stéréotypée et les stratégies discursives employées dans les messages et commentaires haineux en ligne. Deuxièmement nous allons étudier l’usage du numérique des jeunes files et jeunes garçons, mettant l’accent sur l’acquisition et le développement genré de compétences numériques pour gérer les mauvaises expériences en ligne.

Liens personnels